dimanche 22 novembre 2009

Adèle au coeur de pierrre,Ari aux semelles de plomb.


'Rapelles-toi de ces belles paroles,qu'on repètaient en boucles dans lesquelles nous nous envolions loin, très loin. Sais-tu qu'on ne ferme jamais un livre qui n'est pas terminé ? Fixes-moi, défies-moi du regard un peu, ose comparer tes efforts aux miens. Parles mais bon sang, parle-moi. De toi, et de nous. Ne me fuis plus quand je te cherche. Essaie de comprendre ma peine. Dis-moi que oui, tu regrettes tes faits et geste envers moi parce que cette fois, je ne reviendrais pas. Reste toi-même. N'utilises plus ces mots menteurs et courts pour me parler, je veux seulement la simple vérité. Tu le sais bien que ces ça me fait mal. Ton air innocent m' énerve tellement, ton surplus de fierté me fais encore rager. Je ne trouve pas la force de t'en vouloir et ni de revenir vers toi mais il m'est d'ailleurs impossible de décrocher ses souvenirs, ses paroles qui nous appartenais,que seules nous comprenais ...'

mercredi 28 octobre 2009

On dit que nous perdons tous 21 grammes au moment précis de notre mort. Le poids de cinq pièces de monnaie. Le poids d’une barre de chocolat. Le poids d’un colibri. 21 grammes.... Est-ce le poids de notre âme ? Est-ce le poids de la vie ?

mercredi 23 septembre 2009

I'll allways remember you like a child



Parfois je cris. Parfois avec un motif,parfois sans. Parfois dans un oreiller ou une peluche qui traine,parfois a plein poumons dans mon balcon. Parfois j'ai une envie horrible de retourner la bas, et marcher main dans la main avec elle le long de la seine de Paris, ou m'asseoire sur un des bancs de pierre de Bordeaux et observer les pigeons qui s'entretuent pour un miette de pain et soudain courir en criant sur eux en les effrayant et les voire voler autour de moi, et pour sa je recris,encore plus fort. Mais je me dit que sans les rues pavees de Buenos Aires, son soleil qui chauffe le goudrons d'ou remonte la chaleure, je ne suis pas completement moi, donc je hurle car je sais pas vraiment ce que je veut.

samedi 12 septembre 2009

Your heart is my piñata

Cigarette au bout des lévres, elle avance lentement. Elle se cherche dans cette immensité. Trouvera-t-elle sa voix cette fois ? Elle cherche son silence intérieur, cette paix qu'on lui promet. Cet apaisement, celui de cette âme trop accommodée aux désenchantements. Depuis le temps, elle est lasse de ces promesses sans avenir. Elle le sait, au fond d'elle ce qu'elle veut. Elle voudrait être capable de scruter la vie dans un silence d'apparat, en écouter la moindre secousse, en saisir la plus ténue courbe et le plus haut degré de couleur.Ce calme qu'on lui promet tant, pourra-t-elle un jour l'atteindre ?

dimanche 30 août 2009

La peche à la semoule

Il écoute tout, quelquefois je préfererais qu'il écoute moins, je sais ce qu'il fait, après qu'ils lui annoncent tout. Ca bout dans sa tête et ça gicle sans prévenir et on se retrouve tous avec des bout de cervelle dans les cheveux. C'est comme sa qu'il a fait une tentative de suicide aux suppositoires. Il s'en est offert cinquante-sept. Il avait glané l'information dans un couloir. Il s'est régalé de voir les médecins armés d'une kyrielle de tuyaux lui fouiller le ventre sans rien trouver, il imite encore à ses heures festives les réanimateurs fachés de ne pas comprendre et le grondant pour connaître la provenance ou l'emplacement du poison. Ah , ah ! leur avait-il répondu fort content de lui, c'est pas par là qu'il faut regarder! Dans le ventre,vous ne trouverez rien, j'ai tout mis dans mes fesses.


Changes


Un paquet de neige tombe au fond de moi. Elle glisse une brûlure ,je prépare un cri, il sortira plus tard, infiniment, il sortira tant que je vivrais, au rythme d'une respiration,deux ou trois, on me le resservira, encore et encore, cet abandon froid. Je le sens, comme si,avant de frapper un corps, on y inscrivait déjà la blessure, comme si on traçait la rosace au crayon avant de le repasser à l'encre. C'est parti, je suis partie, les feuilles de l'automne craquotant sous mes semelles. Elle fait aurevoir sur le troitoire, elle n'agite pas la main, elle tourne un peu la tête pour que je ne voie pas la larme, et elle sourit doucement, comme si ce n'était pas la peine de creuser; comme si elle savait que dans cent mètres, de toute façon, j'aurais dans le coeur la plaie de son sourire, alors ce n'est pas la peine de lever le bras trop haut, c'est fait, la voiture file, elle disparait. Je pose ma main sur mon coeur, je la glisse entre la pression de ma veste trop petite et je touche ma blessure. Là, derrière mon sein gauche sans sous tif, palpite une petite fente dont je tient les deux bords l'un à l'autre collés, comme s'ils pouvaient s'ouvrir,comme si j'allais me répandre,sans elle. Et maintenant, il ne manque plus qu'à attendre,un gout salée au fond de la langue et les yeux un peu irrités.

samedi 29 août 2009

My little hurricano


Elle n'est qu'amour,appel à la tendresse,une tendresse désesperément sans écho autour d'une table de famille en formica orange.
Ps: Une éjaculation contient la même quantitée de protéines,vitamines,minerales et acides aminos que huit steacks,dix oeufs,six oranges et deux citrons.

dimanche 9 août 2009

au pays des nuits blanches, de l'ivresse,de la débauche, de la fumée de cigarette, des ours polaires et des écureuils de corée.

Ceci est une histoire pour enfants-si vous n'êtes pas un enfant,vous ne devriez pas la lire.
Il y avait une fois, un garçon nommé Milo qui vivais avec sa mère,sa soeur,son oncle et son chien, et le nom de son chien était aussi Milo et le fait que son chien avais le même nom que lui le dérangais vraiment, sa le fesais se sentir triste,au pauvre Milo. Vous vous demandez alors pourquoi Milo avais nommer Milo Milo,surtout puis-ce que cela le rendais triste. La réponse à cette question est que vous ne devriez pas penser tellement, ne vous demandez pas s'la et souvenez vous, "la vie est plus facile les yeux fermées," comme John Lennon à dit. Bref,un jour le chien partis faire une tour dans les bois et ne revint plus, basé sur l'ouverture de cette histoire, vous devez penser que Milo n'était pas touché par la disparition de sa mascote, mais en effet celle-ci le rendit triste,très triste. Là maintenant je suis sure que vous cherchez la moral de cette petite histoire: La voila donc : quand vous n'avez pas de but dans vos act, vous gaspillez votre temps - vous n'êtes pas un enfant, cependant vous lisez cette histoire (!), donc quel est le putain de probleme avec vous?!



"Voici mon secret. C'est tout bête : On voit clairement seulement avec le coeur. Tout ce qui est essentiel est invisible aux yeux." Le petit prince.

mercredi 5 août 2009

Parfois je marches sur les murs.


Sa à l'air simple dit comme sa tu sais.Mais non,sa n'lest pas. Ecoute, il y a des millions de manières pour faire ton propre monde. Chaque personne que tu connais en à un différent - la femme du bureau tabac d'en face,le chauffeur de taxi là bas,la grand-mère qui promène son caniche un peu plus loin.Tous.Parfois ils font leurs mondes à partir de ce qu'ils croient que la réalité est. Mais ils ont tort,moi je veut que tu dépasse la realité,créé ce qui te chante.Ceux-là ils sont convaincus qu'ils n'ont plus rien à ajouter,ni peuvent le faire, à leurs monde.Il y en à d'autres qui le créent sans même s'en rendre compte.Puis ceux dont leurs univers sont des grains de sésame, des week end de trois jour à la campagne, des genous râpées et des bleus au bord des hanches, le chant des oiseaux au printemps accompagné de l'odeur de l'herbe juste coupée, des ballades au bord du lacs, des livres au pages jaunis trempés par l'eau de la pluie tachés par la boue du jardin et aux feuilles arrachées par des doights maladroits,le temps de se faire deux petites tresses dans les cheveux pour que sa fasse plus jolie,l'impossibilité de ne pas tombé amoureux de la personne contemplant le même tableau qu'eux au musée,la cuisson d'un gateau au chocolat et le sentir les narines grandes ouvertes juste sortie du four,et le cd de David Bowie en boucle sans se fatigué. Et toi tu veut te faire un univers méticulesement et déliberement personalisé n'est-ce pas?Comme un théatre comme vie, si je peut le citer comme cela.Tu veut et tu vas vivre une vie jamais vécu auparavant, dans laquelle chaques experience et seulement à toi toi toi et toi.Si tu me permet de te tutoyer.Où il y aura une porte d'entrée pour y entrer facilement lorsque le vraie monde t'étoufferas et une autre de sortie.Où tu n'appelleras pas un couteau un couteau,la facon dont tu appelleras un couteau tu ne la reconnaitras que toi.Bref, je n'suis pas une fille très intelligente mais non plus une grande idiote,donc écoute petite,si tu arrive à comprendre mais surtout executer ce que je viens de te dire, ta vie signifira quelque chose,tu sera quelque chose,tu sera quelqu'un.